[Intro]
L’éternel est mon verger, et je ne manquerai de rien
Il me fait reposer dans des verts pâturages
Me dirige près des eaux paisibles
Il restaure mon âme, me conduit dans les sentiers de la justice
À cause de son nom, il ne m’a jamais oublié
[Couplet 1]
Je me rappelle quand j’étais seul, que tout n’allait pas pour le mieux
C'est vraiment là qu'j’ai vu qu'important était l’amour de Dieu
J’sais pas si t'as déjà vécu un mois, nuit et jour au pieu
Allongé, malade, moi si, j’peux t’dire qu'y a pas plus odieux
Le regard vide, l’âme en peine, lamentable vie, entre haine et tristesse
Laissant passer les heures, les jours, les semaines, comme un repris de justice
Tu crois que j’abuse p’t'être, mais j’te jure qu’ces mots sont justes fils
J’ai vu cette lumière qui m’a fait dire qu’il n’y avait qu’un juge ici
Depuis c’est elle qui guide mes pas
M’éloignant vite de tous ces gens stupides qui m’aimaient pas
Et ceux qui voulaient m’pousser au suicide
En même temps, n’avaient d’yeux que pour mon liquide
Croquant la cupidité à pleines dents, à en devenir livide
Gare au Léviathan, et l’ennemi attend
Et quand tu t'y attends plus, t'attaque, protège ton esprit à temps
Tu entendras un jour son appel, mais une fois sauvé comme moi
Faudra que tu t’en rappelles, loué soit-Il
[Refrain - Christelle Vanier]
Quand la lumière s'est envolée
Que dans l'ombre tu savais plus où aller
Sache qu'il ne t'a jamais oublié, sache qu'il ne t'a jamais oublié
Quand tu te sentais abandonné
Que pour les tiens tu avais tout donné
Sache qu'il ne t'a jamais oublié, sache qu'il ne t'a jamais oublié
[Couplet 2]
Crois pas qu’ceci est un sermon, non on est pas à la messe
J’te parle avec le cœur, sincèrement
L’important est le message de paix
Pour les frères et les sœurs qu’ont plus trop la foi en tess
Besoin d’un médecin spirituel, bientôt la fin, le temps presse
Ne voyez-vous pas tous ces signes de déclin sociaux, sans cesse
L'humain s’empresse, d'tout détruire et trop d’gens seront blessés
Ça rêve de cuir, de lires, de dollars, pense qu’à s’engraisser
À l’allure ou ça vire j’dois dire, j’vois pas d’avenir sans stresser, Zo
[Refrain](bis)
Quand la lumière s'est envolée
Que dans l'ombre tu savais plus où aller
Sache qu'il ne t'a jamais oublié, sache qu'il ne t'a jamais oublié
Quand tu te sentais abandonné
Que pour les tiens tu avais tout donné
Sache qu'il ne t'a jamais oublié, sache qu'il ne t'a jamais oublié
[Pont] (bis)
Vendredi, samedi, tu loueras l’éternel
Lundi, mardi, écouteras ton paternel
Écoute-moi quand j’dis que l’amour maternel
C’est plus beau que le bleu du ciel
Mots pour le commun des mortels
[Refrain] (bis)
Quand la lumière s'est envolée
Que dans l'ombre tu savais plus où aller
Sache qu'il ne t'a jamais oublié, sache qu'il ne t'a jamais oublié
Quand tu te sentais abandonné
Que pour les tiens tu avais tout donné
Sache qu'il ne t'a jamais oublié, sache qu'il ne t'a jamais oublié