Vladimir Cauchemar
Maladie moderne
[Paroles de "Maladie moderne"]

[Couplet 1]
Le sens de la vie part en fade out
Aucune bonne raison mais je veille tard
J'anticipe déjà le réveil d'après
J'aimerais bien pleurer mais y a rien qui s'y prête
Et s'ils sont vraiment pour le partage
Alors, qu'ils viennent me prendre une part de vide
Deux cents plaisirs dans l'appartement
Le seul hic, c'est que j'en ai un p'tit peu marre de vivre
Ma douce, ma belle parle de moi
Et j'suis bien le seul que ça n'intéresse pas
Mets tout sur pause, appuie sur la barre espace
Si si, j'suis un fantôme dans le noir

[Refrain]
Maladie moderne
Je soupire jusqu'à mon dernier
C'est l'enfer
La machine marche à l'envers
Oh, maladie moderne
Je soupire jusqu'à mon dernier
C'est l'enfer
La machine marche à l'envers
[Post-refrain]
Et la nuit porte le doute
Perdu, je sais plus si j'suis bloqué dans ma chambre ou bloqué dans ma tête
Vu que rien ne change, j'me dis qu'j'ai pas de chance comme la plupart des gens
Mais j'le mérite peut-être
Oh, oh, oh, j'le mérite peut-être
Oh, oh, oh

[Couplet 2]
Bien sûr qu'j'me sens M.A.U.D.I.T
Le vide fait du forcing pour me dater
Demander d'l'aide, j'aurais jamais idée
Pas du genre à crier trois fois "mayday", nope
Plus qu'à continuer d'croquer dans ce fruit
Jusqu'à ce qu'il ait un goût de goyave
J'ai mis ma veste pour sortir boire un verre
Mais j'suis encore assis et tout a fermé
Bon comédien, j'fais semblant de l'aimer
Ça deviendra vrai trois jours et demi dans l'année
Mais ce un pourcent de plaisir est tellement raffiné
J'sais bien qu'le miel n'existe que grâce au vinaigre

[Refrain]
Maladie moderne
Je soupire jusqu'à mon dernier
C'est l'enfer
La machine marche à l'envers
Maladie moderne
Je soupire jusqu'à mon dernier
C'est l'enfer
La machine marche à l'envers
[Post-refrain]
Et la nuit porte le doute
Perdu, je sais plus si j'suis bloqué dans ma chambre ou bloqué dans ma tête
Vu que rien ne change, j'me dis qu'j'ai pas de chance comme la plupart des gens
Mais j'le mérite peut-être
Oh, oh, oh, oh, j'le mérite peut-être
Oh, oh, oh, oh