Kore
Koma
[Paroles de "Koma"]

[Couplet 1 : Cendar]
Très peu d’espoir, si j’te dépanne, il m’en reste plus
J'm’en bats les couilles des excuses, t’as qu’à remonter l’temps
J’serais mieux entouré dans un linceul que sous l’étreinte de mes serpents
Le rre-ve s’plaint quand il est pas plein
J’me relève de la mort tous les matins
On m’apprend qu’ça a tiré, ça n’arrête pas
Sur un p’tit plus p’tit qu’le p’tit d’la dernière fois
J’pianote des air sur mes bes-jam, rré-bou dans l’bus, jamais devant
J’arrive toujours à l’heure à deux d'tens’, j’te taquine en disant c’que j’pense
Tu m’as souri de la chair humaine entre les dents, t’as oublié quand on faisait les cages entre les banc
Cadeau d’anniversaire creuse ma tombe, j’cours après les sourire, j’perds ma tong

[Pré-refrain : Yaya]
J’ai l’seum mais j’prends sur moi
J’me d’mande c’que tu prends sur moi

[Refrain : Cendar]
Si j’ai parlé trop bas, c’est que l’ombre écoute
Si je sors du comas, je referais tout
J’ai croqué dans des plans comme dans l’fruit défendu
À l’âge de Crystal, tous les cœurs sont fendus

[Couplet 2 : Yaya]
Il m’arrive une galère, j’me dis que j’paye un truc, j’préfère mourir de froid que tu m’prêtes un pull
J’suis à Madrid, j’attends une passe du Rif, si j’arrive jusqu’à Saint-Denis, poto, j’mets un but
Bloque le rin-té cet après-midi, on clippe, v'-esqui le shtar si t’y arrives
J’sors pas d’gamos, moi, poto, j’me fais scred comme de la vodka pure dans une Sidi Ali (dans une Sidi Ali)
Ciel bleu, ciel gris, orage, sept heures, j'v'-esqui l'sautage
Opinel, chatte sur le visage, 9.3, équipes sauvages
Tu connais que c’que je t’ai pas caché, j’mettais des coups d’plâtre le bras cassé
J’tourne en caisse, j’fume un bédo, j’cogite, j’essaye d’me rappeler du peu d'choses que j’ai pas gâché
[Pré-refrain : Yaya]
J’ai l’seum mais j’prends sur moi
J’me d’mande c’que tu prends sur moi

[Refrain : Cendar]
Si j’ai parlé trop bas, c’est que l’ombre écoute
Si je sors du comas, je referais tout
J’ai croqué dans des plans comme dans l’fruit défendu
À l’âge de Crystal, tous les cœurs sont fendus